Les médicaments illégaux proviennent souvent d’arrière-cours ou de garages. Les criminels les y fabriquent à l’aide de dispositifs primitifs, sans s’embarrasser de qualité.
Ces ateliers de faussaires ne connaissent ni règles d’hygiène, ni autres normes de production. Ils sont bien souvent sales, d’où des risques d’impuretés toxiques et de confusion de substances actives.